Celui qui ira contre ce lynchage et qui voudra demander l'arbitrage de la justice quand un particulier demandera le remboursement du chiot jugé H.S.H.A. par un vétérinaire  se verra opposer au tribunal un expert… qui sera un autre vétérinaire. Il ne lui restera plus qu'à rentrer dans le rang ou à cesser son activité.
La création toute récente d'une association d'éleveurs ayant pour but de se défendre contre les attaques en justice injustifiées des acheteurs annonce les prémices de ce système.
Mais peut être que l'objectif final est que le vétérinaire vende lui-même les chiots qu'il aura sélectionnés ou produit dans son propre élevage ? Ainsi la boucle sera bouclée.
Cela semble peut probable ?
Qui aurait dit, il y a quelques années que les vétérinaires feraient perde le monopole de la vente des médicaments aux pharmaciens ?
Qui aurait dit que le vétérinaire serait mieux achalandé en croquettes que les animaleries ? Qui aurait dit que les vétérinaires vendraient des colliers des muselières et pratiqueraient le toilettage ?
Qui aurait dit que la S.C.C. n'étais pas loin de perdre le fichier d'immatriculation des chiens ?
Gardez précieusement cette lettre, car l'avenir nous dira si je me trompe.
Le nom de mon association est " La cause des chiens " ce nom est un hommage à Françoise Dolto et à son livre " la cause des enfants ". Dans son introduction elle dit que la cause des enfants est n'est pas défendu pour trois raisons : l'enfant doit être rentable ensuite que les adultes sont trop persuadés de leur supériorité sur l'enfant et qu'enfin les scientifiques veulent avoir le monopole de la connaissance de l'enfant.
Elle dit également " que l'on parle de lui  que l'on parle sur lui mais qu'avec lui on ne parle jamais. "
C'est tout cela que j'explique au sujet du chien dans mes articles.
Comme elle a défendu la cause des enfants envers et contre tout et parfois contre tous,  je défendrai la cause des chiens.
Si cela est incompatible avec la rentabilité financière de votre revue dite le moi.